Le Vent du Nord – Ma Louise
3.00$
Paroles et musique Trad avec une composition de Simon et André, arr. LVDN
Voici une chanson de notre ami Robert Deveaux, le gardien de chansons de Chéticamp, au Cap-Breton. Le thème qui borde cette histoire triste aux allures légères est une composition commune de Simon et André. À force de valser entre les mélodies de l’un et de l’autre, nous en avons créé une toute nouvelle! Parfois, et c’est bien le cas ici, la tradition orale possède de ces ritournelles qui réussissent à additionner les sens et, au final, porte les histoires aux apparences simples vers de grandes histoires d’amour.
Chanson offerte en version numérique MP3.
Un jeune soldat qui partait pour la guerre, à sa Louise s’en va faire ses adieux
Son front de chagrin incliné vers la terre, une douce larme y coulait de ses yeux
Mais il lui dit à sa douce un conseil, à mon retour je serai ton amant
Mais il lui dit, il lui répète encore, au revoir ma Louise au revoir
Mon beau galant si tu t’en vas en guerre, de te revoir l’espoir je l’ai perdu
Quand tu seras tué dans la bataille, moi ta Louise je ne t’y reverrai plus
Si tu m’aimais comme tu me l’as fait voir, tu ne penserais jamais de me quitter
Viens dans mes bras la belle que je t’embrasse, viens recevoir, un doux baiser d’adieu
Apportez-moi aussi un blanc mouchoir, pour essuyer les larmes de mes yeux
Cessez vos pleurs la belle séchez vos larmes, car sur ma foi je jure de vous aimer
Le galant part, la belle est dans sa chambre, la nuit le jour elle ne fait que pleurer
La nuit le jour elle pleure elle se lamente, en regrettant son joli temps passé
Que Dieu veuille bien préserver de la guerre, tous les amants des filles à marier
Au bout de six mois à la porte de Louise, le beau galant, trois coups s’en va frapper
Ouvrez, ouvrez la belle votre porte, à votre amant qui revient de l’armée
La belle se lève et va ouvrir la porte, à son amant à son bien-aimé
Au bout d’un mois on célébra la noce, tous les parents étaient tous invités
Tous les amis tous les gens de la noce, furent aussitôt dans un grand deuil plongés
Car tout à coup la belle est tombée morte, entre les bras de son amant chéri
Simon Beaudry voix, bouzouki et guitare
Nicolas Boulerice voix, piano, vielle à roue et clochettes
André Brunet violon, pieds et voix
Réjean Brunet basse, accordéon diatonique, piano, bombarde et voix
Olivier Demers violon, pieds, mandoline, tom basse, grosse caisse et voix
L’ÉQUIPE
Enregistrement Charles-Émile Beaudin aux Studios Piccolo, à Montréal
Mixage Charles-Émile Beaudin et LVDN, aussi aux Studios Piccolo
Matriçage Marc-Olivier Bouchard, Le Lab Mastering, Montréal
Photos Stéphane Najman et Noémie Martineau
Design graphique Olivier Ménard de Relief Création
Révision Marie Mello
Un jeune soldat qui partait pour la guerre, à sa Louise s’en va faire ses adieux
Son front de chagrin incliné vers la terre, une douce larme y coulait de ses yeux
Mais il lui dit à sa douce un conseil, à mon retour je serai ton amant
Mais il lui dit, il lui répète encore, au revoir ma Louise au revoir
Mon beau galant si tu t’en vas en guerre, de te revoir l’espoir je l’ai perdu
Quand tu seras tué dans la bataille, moi ta Louise je ne t’y reverrai plus
Si tu m’aimais comme tu me l’as fait voir, tu ne penserais jamais de me quitter
Viens dans mes bras la belle que je t’embrasse, viens recevoir, un doux baiser d’adieu
Apportez-moi aussi un blanc mouchoir, pour essuyer les larmes de mes yeux
Cessez vos pleurs la belle séchez vos larmes, car sur ma foi je jure de vous aimer
Le galant part, la belle est dans sa chambre, la nuit le jour elle ne fait que pleurer
La nuit le jour elle pleure elle se lamente, en regrettant son joli temps passé
Que Dieu veuille bien préserver de la guerre, tous les amants des filles à marier
Au bout de six mois à la porte de Louise, le beau galant, trois coups s’en va frapper
Ouvrez, ouvrez la belle votre porte, à votre amant qui revient de l’armée
La belle se lève et va ouvrir la porte, à son amant à son bien-aimé
Au bout d’un mois on célébra la noce, tous les parents étaient tous invités
Tous les amis tous les gens de la noce, furent aussitôt dans un grand deuil plongés
Car tout à coup la belle est tombée morte, entre les bras de son amant chéri
